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19 octobre 2007

Sarko au Maroc: rafale contre jetski

Je vous propose cette synthèse de l'hebdommadaire Bakchich. Ce numéro (51) comprend pas mal d'articles sur la Maroc. De la crise entre Mohamed 6 et son cousin Moulay Hicham, au gouvernement El Fassi en passant par la visite de Sarko au Maroc (reste le métro ou le nucleaire après les rafales et les bateaux) , et la muavaise réputation de Kouchner au royaume , du pur plaisir à lires ses infos.

Voici donc un petit recueil.

1-Le retour de Moulay Hicham

Moulay_Hicham

2-Le nouveau Gouvernement marocain : à se tordre de rire.

nouveau_gouvernement

3-Kouchner et M6 : ce n'est pas la lune de miel
À quelques jours de l’arrivée de Nicolas Sarkozy au Maroc, des diplomates du royaume enchanté ont discrètement transmis un message à Jean-David Levitte, le vénérable conseiller diplomatique du Président de la République. Ils lui ont en substance glissé que les relations amicales qu’entretient Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères, avec le prince  Moulay Hicham suscitent de la méfiance. Depuis que les deux hommes se sont récemment rencontrés à New York, lors de l’assemblée générale des Nations Unies, et surtout depuis que le « prince rouge » a donné une interview à Al Jazeera où il  sticote la monarchie marocaine, Rabat redoute un coup d’éclat du cousin germain de Mohammed VI. Les deux hommes se sont connus lorsque Bernard Kouchner était administrateur du Kosovo pour l’Onu. À l’époque, Moulay Hicham, fils du prince Moulay Abdallah et neveu préféré d’Hassan II dirigeait la mission d’observation des élections organisées dans la province sous l’égide de l’Onu. Après le Kosovo, les deux hommes ont continué de se voir discrètement, même après l’exil volontaire du prince aux États-Unis où il passe son temps quand il n’est pas à Paris ou à Abu Dhabi. Signe des tensions avec Mohammed VI, à plusieurs reprises Moulay Hicham s’est vu proposé des responsabilités au sein de l’Onu, mais l’opposition du Roi alliée à celle de Jacques Chirac ont eu raison de la volonté de Kofi Annan. Toujours est-il que rien n’indique que le théoricien du droit d’ingérence pourrait agir pour favoriser son prince d’ami. Mais, au Palais royal, on préfère prendre les devants et rappeler à quel point la déstabilisation de l’actuel monarque serait préjudiciable à la France. Dans l’attente d’une clarification, le principal vecteur de communication restera donc l’Élysée.

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